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Francophonie : La qualité du français: pas une niaiserie
« C’est une langue belle à qui sait la défendre », chante Yves Duteil.
Ceux qui estiment que le combat en faveur de la qualité du français est une niaiserie font fausse route. Ce n’est pas que le législateur et les lois, aussi rigides soient-elles, qui assureront la pérennité du français au Québec.
Il y a un lien étroit entre l’amour que l’on éprouve pour la langue française et l’énergie que l’on doit déployer pour l’inscrire dans nos lois.
Les Québécois sont ambivalents lorsqu’il s’agit de défendre la qualité du français parlé et écrit. La preuve en est que les futurs enseignants ont des résultats catastrophiques aux examens de français à l’entrée de l’université. Plusieurs doivent repasser trois ou quatre fois leur examen.
Comment peut-on être fier d’une langue que l’on maltraite, que l’on truffe de mots anglais et que l’on écrit en faisant fi de la grammaire ?
Langue universelle
Les Québécois ont le privilège de parler une langue universelle qui est partagée par presque 300 millions de locuteurs dans trente-deux pays.
Au Québec, le combat pour la survivance du français est indissociable de la qualité du français parlé. Car pourquoi parlerait-on une langue bâtardisée par l’anglais et rendue incompréhensible dans le reste de la francophonie ?
Qui a envie d’assurer la pérennité d’un français au vocabulaire limité, intoxiqué par des sacres ? Ceux qui rêvent d’indépendance et qui manient la langue avec aisance, possèdent un vocabulaire riche et sont bardés de diplômes doivent limiter leurs transports devant ceux qui prônent une langue de qualité pour tous les Québécois.
Les adversaires de nos lois linguistiques ont souvent peu de respect pour le français. Et ils sont encore nombreux à nous réduire à des citoyens de second rang au Canada. Même le mot frog revient à la mode.
Source : journaldemontreal
Août 2022

Francophonie :Le Centre de la Francophonie des Amériques organise une série de conférences
Pendant une semaine au mois d’août, le Centre de la Francophonie des Amériques diffusera des conférences en ligne qui aborderont des sujets tels que la place de francophonie dans l’espace public, la diversité culturelle ou encore les droits humains.
Le Centre de la Francophonie des Amériques organise une série de conférences.
Le Centre de la Francophonie des Amériques est un organisme gouvernemental du Québec en activité depuis 2008. Sa mission : « contribuer à la promotion et à la mise en valeur d’une francophonie porteuse d’avenir pour la langue française dans le contexte de la diversité culturelle, en misant sur le renforcement et l’enrichissement des relations ainsi que sur la complémentarité d’action entre les francophones et les francophiles du Québec, du Canada et des Amériques », précise le centre sur son site.
L’année 2014 a, quant à elle, vu la création de la Bibliothèque des Amériques avec un catalogue de plus de 15 000 livres numériques afin de rendre accessible la littérature francophone aux apprenants du français des Amériques et aux francophones. Une démarche complétée par des clubs de lecture et des rendez-vous littéraires.
Source : françaisaletranger
Août 2022

Francophonie : de jeunes ambassadeurs prêts à faire la différence dans leur communauté.
Des jeunes participent au Forum national des jeunes ambassadeurs, à Regina, en Saskatchewan en 2022.
Les participants au Forum national des jeunes ambassadeurs se disent prêts à être de jeunes leaders bilingues dans leur communauté respective.
Le Forum national des jeunes ambassadeurs a pris fin vendredi à Regina, en Saskatchewan. Une trentaine de jeunes issus de tout le pays, qui ont suivi des ateliers portant entre autres sur la gestion de projet et le leadership, vont jouer leur rôle d’ambassadeur et de jeunes leaders bilingues dans leur communauté respective.
Avec la conclusion du Forum national des jeunes ambassadeurs, ces jeunes se disent prêts à réaliser des projets qui feront rayonner le bilinguisme au Canada, particulièrement dans leur communauté.
Alors qu’elle fréquente une école anglophone, Ashley Ahadjitse, une participante qui vient d’Ottawa, déclare qu’elle est outillée à présent pour relever ce défi. »Mon plan c’est de mettre sur pied un club de français à mon école. il n’y avait jamais quelque chose comme ça, j’aimerais l’introduire », déclare-t-elle.
« Il n’y a pas trop de francophones dans mon école, alors j’espère rassembler ceux qui parlent le français pour qu’ils deviennent plus confortables en français. »
Source : radio-canada
Août 2022
TDAH : L’arrivée d’un chien change totalement la vie d’une femme atteinte de troubles neurodéveloppementaux
Pour Carly, jeune femme souffrant de TDAH, son chien Teddy est une véritable bénédiction. Grâce à lui, elle voit la vie autrement et gère bien plus facilement ses troubles. Le canidé lui-même a été sauvé par son adoption, lui qui avait connu un début de vie difficile.
Carly Minsky habite Londres avec son compagnon Josh et Teddy, leur ami à 4 pattes. Elle n’avait pas spécialement l’intention d’avoir un chien de soutien émotionnel, mais son animal de compagnie a spontanément endossé ce rôle, sans même y avoir été formé.Âgée de 33 ans, cette Londonienne est atteinte de TDAH, ou trouble du déficit de l’attention / hyperactivité, rapporte Daily Record. Elle et Josh avaient adopté Teddy en 2020, alors qu’il était âgé de 9 mois. Le Cavapoochon (croisé Cavalier King Charles Spaniel, Caniche et Bichon à poil frisé) connaissait enfin la stabilité grâce au couple après 3 adoptions avortées.
Au fil du temps, le chien est devenu extrêmement précieux pour Carly. Il a changé sa vie et sa manière de la mener. « Teddy m’a appris à privilégier la qualité du temps passé ensemble, plutôt que de chercher à être productive, dit-elle. Avant de l’avoir, je me jugeais sévèrement sur tout ce que j’avais accompli chaque jour ». Son chien vit l’instant présent et il encourage sa maîtresse à en faire de même.
Source : woopets
Août 2022

Nature Oiseaux Sècheresse : Sécheresse : quelles conséquences pour les oiseaux, les poissons, les abeilles…?
Par Clara Hidalgo
Assoiffée et affaiblie, la faune sauvage lutte pour survivre en raison du manque d’eau et de la dégradation, voire de la disparition, de son habitat.
Le niveau des cours d’eau diminue, le débit des rivières s’affaiblit, l’humidité laisse place à la sécheresse dans les sols. Des preuves que l’eau disparaît peu à peu en s’évaporant dans l’air, faisant ainsi grimper les températures déjà élevées en ces temps caniculaires. Une situation alarmante à la fois pour l’homme, qui voit ses ressources en eau réduites, mais aussi pour la faune sauvage, condamnée à la déshydratation. Aucune espèce n’est épargnée par cette sécheresse exceptionnelle, juillet 2022 étant le mois le plus sec jamais enregistré en France depuis 1959, selon La Chaîne Météo*.
Ce phénomène s’explique par un déficit de précipitations de «20% en moyenne» depuis cet hiver, empêchant les nappes phréatiques de se remplir correctement. La Chaîne Météo évoque aussi un printemps 2022 déjà très sec, «classé troisième dans le rang des printemps les plus secs».
Source : lefigaro
Aout 2022

Sécheresse : quelles conséquences pour les oiseaux, les poissons, les abeilles…?
Oiseaux Protection Climat : Ces oiseaux changent de couleur à cause du réchauffement climatique: pourquoi c’est problématique
Ces oiseaux ont perdu la couleur de leur plumage en quinze ans.
Publiée dans la revue The American Naturalist, l’étude a été réalisée entre 2005 et 2019 dans le sud de la France par des scientifiques de l’UPV/EHU-Université du Pays basque et du Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive (CEFE-CNRS) de Montpellier. Elle a porté sur deux populations de mésanges bleues : la première évoluait en périphérie de Montpellier, la seconde au nord-ouest de la Corse.
Ces oiseaux de la famille des passereaux se caractérisent par leur crête bleue et leur poitrine jaune. Mais au fil de leurs quinze années d’observation, les scientifiques ont constaté une diminution nette de la coloration chez les deux populations d’oiseaux étudiées.
Source : metrotime
Aout 2022

Ces oiseaux changent de couleur à cause du réchauffement climatique: pourquoi c’est problématique
Reforestation Amazonie : Amazonie : au cœur du combat vital des femmes autochtones
Saviez-vous que 5% de la population mondiale protège aujourd’hui 80% de la biodiversité de notre planète ? Les peuples autochtones, véritables gardiens de l’environnement, se heurtent pourtant aux injonctions économiques et politiques d’une société qui a perdu son lien primaire à la Nature. Afin de mettre en lumière le combat écologique et social des femmes issues des ces communautés, Jade Fort et Estelle Lalisse ont créé le projet ELLAS. A l’occasion de leur immersion en Amazonie, ces deux jeunes réalisatrices souhaitent rendre hommage aux figures féminines qui se dressent pour préserver leur culture et leur environnement prodigieux. Récits de Vies.
Avec ses 550 millions d’hectares de forêts, dont un tiers au climat tropical humide, l’Amazonie assure une fonction vitale à la santé de notre planète. On estime ainsi que cette région du monde renferme entre 80 et 120 milliards de tonnes de carbone, capté grâce à l’action de sa végétation.
Un inestimable patrimoine écologique en danger
Véritable poumon vert de l’écosystème Terre, ce coin du monde héberge aussi une biodiversité phénoménale : 40 000 espèces de plantes, 3 000 espèces de poissons d’eau douce et plus de 370 de reptiles, soit une espèce sur dix connues sur Terre selon WWF, y ont été recensés.Mais en plus d’abriter 10% de la biodiversité mondiale, ce biome accueille aussi en son sein près de 35 millions de personnes, qui vivent en majorité des services rendus par cette nature luxuriante.
Source : mrmondialisation
Aout 2022
Reforestation Amazonie : Amazonie : au cœur du combat vital des femmes autochtones
Saviez-vous que 5% de la population mondiale protège aujourd’hui 80% de la biodiversité de notre planète ? Les peuples autochtones, véritables gardiens de l’environnement, se heurtent pourtant aux injonctions économiques et politiques d’une société qui a perdu son lien primaire à la Nature. Afin de mettre en lumière le combat écologique et social des femmes issues des ces communautés, Jade Fort et Estelle Lalisse ont créé le projet ELLAS. A l’occasion de leur immersion en Amazonie, ces deux jeunes réalisatrices souhaitent rendre hommage aux figures féminines qui se dressent pour préserver leur culture et leur environnement prodigieux. Récits de Vies.
Avec ses 550 millions d’hectares de forêts, dont un tiers au climat tropical humide, l’Amazonie assure une fonction vitale à la santé de notre planète. On estime ainsi que cette région du monde renferme entre 80 et 120 milliards de tonnes de carbone, capté grâce à l’action de sa végétation.
Un inestimable patrimoine écologique en danger
Véritable poumon vert de l’écosystème Terre, ce coin du monde héberge aussi une biodiversité phénoménale : 40 000 espèces de plantes, 3 000 espèces de poissons d’eau douce et plus de 370 de reptiles, soit une espèce sur dix connues sur Terre selon WWF, y ont été recensés.Mais en plus d’abriter 10% de la biodiversité mondiale, ce biome accueille aussi en son sein près de 35 millions de personnes, qui vivent en majorité des services rendus par cette nature luxuriante.
Source : mrmondialisation
Aout 2022

Amazonie : au cœur du combat vital des femmes autochtones
Déforestation : Rasées, industrialisées, privatisées : les forêts en danger
Le Centre pour la recherche forestière internationale (CIFOR) est un établissement scientifique de recherche sur les défis les plus urgents en matière de gestion forestière et des paysages. Le CIFOR est un organe indispensable car il s’évertue à influencer les politiques pour qu’ils agissent en faveur de l’environnement. Robert Nasi, directeur du CIFOR et de l’ICRAF et Julien Sabatier, ingénieur en agro développement et stagiaire au CIFOR ont répondu à nos questions sur la situation de la déforestation à l’échelle du globe.
Mr Mondialisation : Pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement du CIFOR et votre implication au sein de cet établissement scientifique ?
Robert Nasi : Je travaille dans le domaine de l’environnement depuis 40 ans et depuis 25 ans au CIFOR (Centre International de Recherche Forestière). Je suis le directeur scientifique et directeur général du CIFOR et plus récemment de l’ICRAF (Centre International pour la recherche en agroforesterie). Je m’intéresse de près à la gestion durable des ressources naturelles et plus particulièrement à la gestion forestière. Au CIFOR, on intervient surtout dans la zone tropicale et intertropicale. Notre organisme veut influencer les politiques afin que la gestion forestière soit effectuée de la manière plus durable. On effectue également des recherches sur les interactions entre humains et forêts en veillant à préserver la qualité de vie des populations environnantes.
Nous voulons que les zones forestières soient utilisées de façon durable et qu’il n’y ait pas de dérives à des fins lucratives. Même si des politiques de gestion durable sont mises en place, les changements dépendent surtout du bon vouloir des gouvernements :
Ce ne sont pas les scientifiques qui décident.
On essaie, à notre niveau, d’alerter les politiques sur l’importance du respect de l’environnement en les mettant en garde sur des risques environnementaux comme on l’a fait pour le Congo en montrant les liens assez forts entre croissance de l’épidémie d’Ébola et déforestation. Nos résultats de recherches sont en open accès pour que tout le monde puisse en bénéficier.
Julien Sabatier : Je suis actuellement en stage de fin d’étude avec le CIFOR. Je mène en parallèle une formation d’ingénieur en agro-développement qui me permet d’aborder la forêt avec une vision systémique. Après une expérience en tant que technicien agroforestier en France, je réalise maintenant un mémoire sur les freins à la restauration forestière au Cameroun. Je tente de comprendre quels leviers d’actions peuvent être mis en place pour permettre aux populations elles-mêmes de s’approprier la question de la restauration forestière.
Source : mrmondialisation
Aout 2022
Biodiversité Protection Nature : Environnement : « Les arbres sont potentiellement immortels si on leur fiche la paix »
François Hallé, botaniste montpelliérain, est un expert mondialement reconnu des forêts primaires. Il travaille aujourd’hui sur la création d’une forêt primaire en Europe de l’Ouest. Dernier livre publié : « Le Radeau des cimes. Trente années d’exploration des canopées forestières équatoriales », co-écrit avec Gilles Ebersolt, Dany Cleyet-Marrel et Olivier Pacal chez Actes Sud.
Que pouvez-vous nous dire sur les arbres dits « remarquables » ?Je suis gêné par ce terme « d’arbres remarquables », qu’on donne souvent à des arbres très grands et très âgés. Pour moi, les arbres les plus remarquables sont très jeunes et en bonne santé. Je préfère remarquer les arbres quand ils sont les plus beaux possibles. Mais on a besoin de ces arbres anciens, sur lesquels la filière bois a d’ailleurs fait circuler de fausses idées, il y a quelques années, comme le fait qu’ils captent moins de CO2 et restituent moins d’oxygène.
Sentez-vous, plus globalement, un regain d’intérêt pour l’arbre et la forêt, dans le contexte des dramatiques incendies de l’été et des aléas d’un changement climatique aux effets de plus en plus perceptibles ?
C’est bien antérieur aux feux de forêt et au changement climatique. Il y a un regain d’intérêt pour les arbres, et plus globalement pour les plantes, depuis la fin du vingtième siècle, sans que je sache vraiment expliquer pourquoi. Et cet intérêt s’accroît d’années en années, j’ai l’impression que dans le contexte actuel, ça nous fait du bien de se raccrocher aux arbres. Des milliers d’arbres sont plantés chaque année. J’en profite pour rappeler qu’il y a deux manières de faire pousser des arbres : planter, ou semer. Dans la première hypothèse, la plupart auront disparu vingt ans plus tard, ce qui ne sera pas le cas lorsque l’arbre naît d’une graine, il sera plus beau, et vivra plus longtemps. On perd son temps à essayer de l’accélérer. Mais l’arbre semé n’a aucune valeur sur le plan politique…
Source : midilibre
Aout 2022

Environnement : « Les arbres sont potentiellement immortels si on leur fiche la paix »
Amazonie Protection Biodiversité : Un institut amazonien de la biodiversité et de l’innovation à l’horizon 2030
Le 19 juillet dernier, les partenaires du projet ABISI, lauréat de l’appel à projets du plan de relance France 2030, se sont réunis à l’université de Guyane pour présenter officiellement le plan sur 10 ans.
Le 19 juillet dernier, l’université de Guyane annonçait faire partie des dix-sept lauréats de l’appel à projets « Excellence sous toutes ses formes ». Ce projet qui définit un plan sur dix ans doit permettre la création de l’institut amazonien de la biodiversité et du développement durable (ABISI en anglais) à l’horizon 2030. Piloté par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche et financé par le programme d’investissement d’avenir (PIA) du plan de relance France 2030, l’appel à projets « ExcellenceS sous toutes ses formes » a vocation à soutenir la recherche en matière de transition écologique et énergétique. À travers ce projet, l’université de Guyane (UG) ambitionne de devenir un pôle de recherche national et international de premier plan en matière de biodiversité et d’innovations durables et ainsi stimuler le secteur de la bioéconomie. La Collectivité térritoriale (CTG) et son agence Guyane Développement Innovation (GDI), le Cnes, l’Ifremer et l’institut Pasteur sont partenaires. Tous étaient présents lors de cette conférence afin de présenter officiellement les objectifs à court, moyen et long terme du projet ABISI.
Source : franceguyane
Aout 2022

Un institut amazonien de la biodiversité et de l’innovation à l’horizon 2030 – Actualité sur l’éducation en Guyane
Découverte, Nature et Oiseaux : L’été à vol d’oiseau
Agenda nature Du 1 juillet 2022 au 31 août 2022
LPO France Grand RDV Toute la France
Pour la troisième édition de sa campagne estivale « l’été à vol d’oiseau », le réseau LPO se mobilise partout en France pour proposer aux juilletistes comme aux aoûtiens de conjuguer vacances et protection de la nature de proximité. Partir à la rencontre de la nature sauvage est un loisir de plus en plus populaire. Inutile pourtant de traverser la planète à grand renfort d’émissions carbone pour retrouver des grands espaces et s’émerveiller devant la beauté du vivant. La France est d’une richesse exceptionnelle et possède une incroyable diversité d’habitats et d’espèces sauvages, qu’il convient de préserver.
Fous de Bassan et tampon « l’été à vol d’oiseau »Lieu : Dans toute la FranceRéservation : NonPrix : GratuitMieux connaître pour mieux protégerGrâce à son réseau d’associations locales autonomes présentes dans toutes les régions de métropole, la LPO propose de nombreuses animations encadrées par des experts naturalistes. Ces passionnés vous emmènent à la découverte des espaces naturels les plus remarquables de l’hexagone. Partez par exemple à la rencontre des sternes des bords de Loire, des rapaces nocturnes de la Vienne, des chauves-souris de l’Aveyron, des papillons de Dordogne, des fous de Bassan de Bretagne, des cigognes de Charente-Maritime, des lézards de Bourgogne Franche-Comté, etc.Parcourez l’agenda nature de la LPO
Source : lpo
Août 2022

L’été à vol d’oiseau
Observation Oiseaux : Le nouveau programme des sorties de la LPO Île-de-France est disponible
Retrouvez dans ce numéro toutes les sorties grand public qui sont proposées gratuitement par la LPO Île-de-France.
Les sorties que nous proposons vous permettront de vous initier à l’ornithologie tout en découvrant des sites naturels de la région ou des espaces verts périurbains dont la diversité vous surprendra !
Ces sorties sont animées par des bénévoles passionnés, qui prennent sur leur temps de loisirs pour vous faire partager leur amour des oiseaux. Il n’est pas nécessaire d’être adhérent à la LPO pour y participer.
Toutes nos sorties sont répertoriées dans l’agenda du programme d’activité de la LPO Île-de-France !
Source : lpo
Août 2022

Le nouveau programme des sorties de la LPO Île-de-France est disponible
Amazonie : Cycle de l’eau : une sixième limite planétaire vient d’être franchie, c’est la deuxième cette année
Une sixième limite planétaire vient d’être franchie selon plusieurs scientifiques. Elle concerne le cycle de l’eau et plus particulièrement l’eau verte, celle qui est absorbée par les végétaux. En Amazonie, mais partout ailleurs, l’humidité des sols change et les forêts se transforment en savanes en raison du changement climatique et de la déforestation. Le monde compte neuf limites planétaires, seules trois n’ont donc pas encore été franchies.
La forêt amazonienne dépend de l’humidité du sol pour sa survie, mais il est prouvé que certaines parties de l’Amazonie s’assèchent.
Le monde vient de franchir une nouvelle limite planétaire, et ce pour la deuxième fois de l’année. Cette sixième limite planétaire concerne le cycle de l’eau, et plus particulièrement l’eau verte, celle qui est absorbée par les végétaux. Elle comprend les précipitations mais aussi l’humidité du sol et l’évaporation. Jusqu’ici elle n’était pas suffisamment étudiée. Or, selon une nouvelle évaluation réalisée par des chercheurs du Stockholm Resilience Center, en collaboration avec d’autres scientifiques du monde entier, il apparaît que l’eau verte est en dehors de la zone de sécurité.
Source : novethic
Aout 2022

Cycle de l’eau : une sixième limite planétaire vient d’être franchie, c’est la deuxième cette année
Déforestation, Amazonie : « Désastre environnemental » : la déforestation en Amazonie atteint un niveau record au premier semestre.
Au total, 7 533 foyers ont été recensés depuis le début de l’année, une augmentation de 17 % par rapport au premier semestre 2021, le pire chiffre depuis 2010.
La plus grande forêt tropicale de la planète a perdu 3 750 km² depuis le début de l’année.
La déforestation dans l’Amazonie brésilienne a atteint un niveau record au premier semestre, tandis que le mois de juin a été le pire pour les feux de forêt depuis 2007, selon les données officielles rendues publiques vendredi.Depuis le début de l’année 2022, la plus grande forêt tropicale de la planète a perdu 3 750 km², du jamais vu depuis que ces données ont commencé à être compilées par le système de surveillance par satellite Deter de l’Institut national de recherches spatiales (INPE), en 2016.
Le précédent record pour un premier semestre, qui datait de l’année dernière (3 605 km²), a été battu alors que les données ne prennent pas encore en compte les six derniers jours du mois de juin. Des records mensuels avaient été battus en janvier et février, en pleine saison humide, quand la déforestation est habituellement moins importante, puis en avril.
Source : sudouest
Août 2022

« Désastre environnemental » : la déforestation en Amazonie atteint un niveau record au premier semestre.
Amazonie : COP15 de Montréal : « Il est temps de réparer les dégâts que nous avons causés »
Montréal accueillera en décembre la 15e Conférence des parties (COP) de la Convention sur la diversité biologique des Nations unies. Virginijus Sinkevicius, le Commissaire européen chargé de l’environnement, appelle à une mobilisation mondiale pour sauver la nature.
Où que nous posions le regard, nous voyons une nature en détresse. Des incendies de grande ampleur enflamment le pourtour méditerranéen et des records de température sont battus chaque jour. Nous sommes proches du point de rupture en Amazonie, où un écosystème essentiel est sur le point de s’effondrer. On observe une chute de 60 % des populations mondiales d’espèces sauvages. Et de grands fleuves comme le Pô sont réduits à un filet d’eau, offrant ainsi une terrifiante prémonition d’un avenir que nous devons éviter.
La déforestation et le réchauffement climatique mondial sont une boucle
de Möbius : lorsque nous abattons des arbres, nous réchauffons la
planète, et lorsque la planète se réchauffe, la nature se meurt. Mais
cette boucle peut fonctionner dans les deux sens. Lorsque nous prenons
soin de la nature, elle absorbe plus de carbone.
Source : ouestfrance
Août 2022

Point de vue : COP15 de Montréal : « Il est temps de réparer les dégâts que nous avons causés »
Tdah : Les traitements du TDAH pourraient être efficaces contre la maladie d’Alzheimer
C’est la conclusion d’une méta-analyse parue dans le Journal of Neurology Neurosurgery & Psychiatry. Les médicaments noradrénergiques, qui sont utilisés pour réduire les symptômes du trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité, pourraient aider à réduire les symptômes cognitifs et neuropsychiatriques de la maladie d’Alzheimer. Une dizaine d’études, impliquant 1300 patients au total, rapportent un effet positif significatif de ces traitements sur la cognition globale et l’apathie.
La maladie d’Alzheimer est caractérisée par un dysfonctionnement au niveau d’un noyau sous-cortical appelé locus cœruleus (LC) ; c’est de cette région cérébrale que sont issus la plupart des neurones utilisant la noradrénaline comme neurotransmetteur — des neurones qui se projettent dans l’ensemble du cerveau. La noradrénaline (ou norépinéphrine) est essentielle à l’éveil et à de nombreux processus cognitifs, notamment l’attention, l’apprentissage, la mémoire, le contrôle exécutif et inhibiteur.
La perte de neurones noradrénergiques du LC est directement associée à la perte de mémoire et aux troubles de l’attention qui surviennent au début de la maladie d’Alzheimer. Elle est également responsable de l’apathie observée chez de nombreux patients — la motivation étant influencée par le système noradrénergique. Les traitements actuels de la maladie ciblent les neurones cholinergiques et glutamatergiques, mais ont des effets limités. Les neurones noradrénergiques apparaissent aujourd’hui comme une nouvelle cible thérapeutique.
Source : trustmyscience
Août 2022

Les traitements du TDAH pourraient être efficaces contre la maladie d’Alzheimer
Tdah : Les filles moins touchées par les troubles de l’attention que les garçons ? Voici pourquoi c’est faux
Selon les chiffres officiels, les garçons seraient plus concernés par les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) que les filles. Pourtant, de récentes études montrent que des inégalités de genre propres au diagnostic seraient à l’origine d’une profonde injustice. Le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un trouble neurodéveloppemental qui affecte les capacités de concentration et de mémoire d’une personne. Il s’accompagne parfois d’impulsivité, d’hyperactivité, d’anxiété ou de dépression. Selon la Déclaration de consensus international de la Fédération mondiale du TDAH, 5,9% des jeunes et 2,5% des adultes sont touchés par ces troubles du déficit de l’attention. Par ailleurs, ils sont plus fréquemment diagnostiqués chez les garçons. Pourtant, nombreuses sont les petites filles qui connaissent cette condition, mais dont le diagnostic n’est pas fait à cause de stéréotypes comportementaux.
D’après une enquête menée par la BBC, bien que les filles soient tout autant sujettes que les garçons aux TDAH, leurs comportements témoignant de ces troubles, comme l’hyperactivité, ont tendance à être minimisés, alors que ceux des garçons sont exagérés. De plus, les filles auront davantage tendance à dissimuler ces troubles, en raison des stéréotypes de genre. Par exemple, les fillettes auront moins tendance à se laisser aller à de l’impulsivité, considérée comme “masculine”.
Source : aufeminin
Août 2022

Les filles moins touchées par les troubles de l’attention que les garçons ? Voici pourquoi c’est faux
Tdah : Des chercheurs utilisent l’IRM pour montrer les changements cérébraux et les différences chez les enfants atteints de TDAH.
Le multitâche n’est pas seulement une compétence de bureau. C’est la clé du fonctionnement en tant qu’être humain, et cela implique ce qu’on appelle la flexibilité cognitive – la capacité de basculer en douceur entre les processus mentaux. Les scientifiques de l’UNC ont mené une étude pour imager les analogues de l’activité neuronale à la flexibilité cognitive et découvrir les différences dans l’activité cérébrale des enfants atteints de TDAH et de ceux qui n’en ont pas.
Leurs conclusions, dans la revue Psychiatrie moléculaire pourraient aider les médecins à diagnostiquer les enfants atteints de TDAH et à surveiller la gravité de la maladie et l’efficacité du traitement.
Certaines personnes sont plus flexibles sur le plan cognitif que d’autres. C’est juste la chance du tirage génétique à certains égards, même si nous pouvons améliorer notre flexibilité cognitive une fois que nous réalisons que nous sommes inflexibles. Pensez-y comme ceci : nous sommes flexibles sur le plan cognitif lorsque nous pouvons commencer le dîner, laisser mijoter les oignons, envoyer un SMS à un ami, recommencer à préparer le dîner sans brûler les oignons, puis terminer le dîner tout en poursuivant une conversation avec votre conjoint. Nous sommes également flexibles sur le plan cognitif lorsque nous changeons de style de communication tout en parlant à un ami, puis à une fille, puis à un collègue, ou lorsque nous résolvons des problèmes de manière créative, disons, lorsque vous réalisez que vous n’avez pas d’oignons pour préparer le dîner que vous voulez, vous avez donc besoin d’un nouveau plan.
Source : housseniawriting
Août 2022

Des chercheurs utilisent l’IRM pour montrer les changements cérébraux et les différences chez les enfants atteints de TDAH
Francophonie : La francophonie et les langues françaises (Belgrade)
La Faculté de Philologie de l’Université de Belgrade (Serbie)
L’Université de Manouba (Tunisie)
La Faculté de Philologie de l’Université de Belgrade (Serbie)
Le Groupe des Ambassadeurs francophones de Serbie
Ont le plaisir d’annoncer l’organisation du colloque international
LA FRANCOPHONIE ET LES LANGUES FRANÇAISES
Les 13 et 14 octobre 2022 à Belgrade.
Si par « francophonie » on entend communément, « l’ensemble des personnes et des institutions qui utilisent le français comme langue de première socialisation, langue d’usage, langue administrative, langue d’enseignement ou langue choisie », la langue se trouve, entre autres, définie comme une « manière de parler, de s’exprimer, considérée du point de vue des moyens d’expression à la disposition des locuteurs ». Elle est ainsi le reflet d’un rapport au monde qui se révèle aussi bien à travers le verbal que le non verbal. Or ces derniers ne sauraient, se réaliser en dehors du culturel avec ses expressions et archétypes. Abdelkhébir Khatibi préfère parler des langues françaises considérées comme un espace commun miraculeux qui a permis aux francophones de se libérer de l’anonymat de la classe ou de la race, de lutter contre l’identité sauvage et de transgresser la différence nominale. L’un des intérêts de la langue française, répond Edouard Glissant, c’est qu’elle s’est éparpillée un peu partout. Il n’y a pas de continent de langue française. La francophonie n’est-elle pas une garantie prise sur les hasards de l’Histoire, une ligne active contre l’enlisement et le ressentiment, un barrage contre le chaos ? La littérature, le théâtre, la peinture, la sculpture, la danse, la musique voire les us et les coutumes sont dans ce contexte l’expression d’une langue, d’un langage, et de manière plus large, d’une forme de communication. C’est au sein de la pluralité que la nature rencontre la culture et que les artistes inventent un horizon commun puisant ses ressources dans les valeurs communes. Fini l’ethnocentrisme. L’interculturel nous réunit. Le spécifique se place, sans complexe, au cœur des rencontres entre le bruissement et le jaillissement. L’avenir sera-t-il pluriel ? Assia Djebar évoque cette belle architecture des esprits en soulignant l’importance de la langue ensemencée par les sons et les rythmes de l’origine, langue s’ouvrant au différent et s’allégeant des interdits. Jean Pruvost, quant à lui, se présentant comme « dicopathe » faisant voler en éclats les clichés, lorsqu’il choisit comme titre pour l’un de ses ouvrages Nos ancêtres les arabes, ce que notre langue leur doit, rappelle les couleurs qui font le français rassemblant autour de la francophonie tant de sons de cloche suggérant une lingua franca des temps modernes.
Source : fabula
Août 2022

La francophonie et les langues françaises (Belgrade)