Ce phénomène, plus prononcé dans les zones les plus sèches et celles où l’activité humaine est la plus intense, concerne en premier lieu la partie brésilienne de la forêt, selon une étude parue dans « Nature ».
Source : Le Monde
Mars 2022

Ce phénomène, plus prononcé dans les zones les plus sèches et celles où l’activité humaine est la plus intense, concerne en premier lieu la partie brésilienne de la forêt, selon une étude parue dans « Nature ».
Source : Le Monde
Mars 2022