Les forêts s’amenuisent chaque année dans le monde. Et le Brésil est l’épicentre du phénomène. Selon le Fonds mondial pour la nature, plus du quart de la forêt amazonienne sera dépourvue d’arbres d’ici 2030 si la vitesse à laquelle ils tombent se maintient.
Si rien ne se passe, on estime même que 40 % de cette forêt unique au monde sera rasée d’ici 2050. Au-delà des conséquences matérielles et environnementales, cette déforestation menace certains droits humains, notamment le droit à la vie, à l’intégrité physique, à une qualité de vie raisonnable et à la dignité des communautés marginalisées. Le Brésil est l’un des cas les plus inquiétants en ce sens.
Source : Félix Bhérer-Magnan
Juin 2022

L’accélération de la disparition de la forêt amazonienne menace les peuples autochtones